Comme c'est grand ! [PV]

Après avoir rapidement poser mes valises dans ma nouvelle chambre, j'avais descendut l'escalier et parcourut l'intérieur de la pension. Même si la pension semblait très intéressante, j'aurais voulut profiter du beau temps pour une marche à l'extérieur. Je me tenais près d'une fenête et j'entendais les oiseaux chanter... comme s'il m'appelaient ! Je suivit le mur pour trouver une porte menant au grand jardin. une fois dehors, je ne put m'empêcher de me mettre à courir sur un sentier de terre.

Le premier banc que je vit fut mien. Je m'y assisit et regardai le ciel sans tâche, sans nuages blanc. Mes mains sa baladèrent sur mon cou pour saisir mon pendantif maintenant accompagné d'une belle et petite clef d'argent. Mes pensées étaient toutes remplies d'images de ma grand-mère, la seule qui ne m'avait jamais aimé. Pourquoi la vie a-t-elle voulut la tuer ? C'était une vaillant femme !

Je me rendis alors compte que je ne devais pas perdre ma première journée à cause de la mélancolie. Je me forçai à penser à autre chose. Je croisai les jambes, continuai à regarder le ciel. J'avais l'impression d'attendre quelque chose... mais qu'est ce que ça pouvait bien être ..?

[J'espère que c'est pas trop long ^__^]

pensionnaire ^^ Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 22/02/2007

[> infirmerie,on dira,qu'Atio arrive a Kosuke,une demi-heure avant toi kae']

J'étai partis depuis un bout de temp du vieux bureau de la gérante.Vous voyez,un truc moisi,avec un mobilier,moisi,qui était très moche pour les gens du Vingt-Et-Uniéme Siècle . Cette folle voulez m'obéir ... Phew,je l'ai bien eu ! J'ai certes brisé ma barrière psychique pour faire ca,en repoussant,et en tentant d'attaquer la sienne,mais au moins,je me suis bien vengée . Le plus dur a croire,c'est que j'ai deja récupéré . Même si,comme je pensai,une petite brise matinale ne serai pas de refus . Et à Huit heure moins le quart,la rosée du matin abbondai dans les jardins . Quand mon premier pied se posa sur la marche menant au jardin,mon nez s'emplis de l'exquise odeur du matin . Un vrai bonheur,quand on vien de tokyo,avec tout ses grattes-ciels,ses pollutions,voiture,pour une popullation la plupart de temp qui se rendait a pied ,plutôt qu'en voiture,a leurs travail,simplement car les bouchons était légions , à Tokyo .

Donc,je sortais de l'infirmerie,non pas en obéissant a la teinte en rose de dirlo',mais surtout pour mon envie personelle .Tulipe,Rose,Arbre fruitier,Fleur,était tous présent,un pommier qui me semblait millénaire tellement il était grand,des roses d'un rouge sang pleine de piquant,Oiseaux qui chantaient,herbe touffu,je put même apercevoir un chat qui avait un pelage noir,des yeux jaune comme une pleine lune, et une majestueuse et longue queu. Parresseux il s'était roulé dans l'herbe en ronronnant,signe d'une grande satisfaction,chez les félins . La seule question que je me posai,c'était " Comment une telle pureté peut exister dans se jardin ... " Il n'y avais aucune traçe d'engrais chimique " ,les insectes,mamiféres,oiseaux,et la nature cohabitée en un parfait équilibre,qui me parrai supremenant ... Mais cette alors que je vus ...

Quelque chose qui me semblait plus pur que l'endroit lui-même,assis sur un banc. Le Ciel Rose devenait bleu,les animeaux qui était là se levaient,au loins,un coq chanta,un chien abboya,les oiseaux chantaient ... En bon japonais," Sugoi" était approprié . Mais la fille,assis sur le banc,"Subarashii,ou même Kawai" était a la hauteur de la beauté de la jeune fille,sans faire aucune hyperbole ... Mais je savais,mefiant,que les plus jolies fille,pouvait être aussi les plus cruels .Mon sac pour aller en cours sur l'épaule,je m'avancais,main dans les poches,mefiant,il fallait le dire,sous le charme de la fille qui était,il fallait l'avoué,très jolie ...

- Ohayo ... Je peut m'assoir sur le banc ? J'suis nouveau ici,j'suis arrivé ici y a une bonne demi-heure de tokyo,et toi ?

Dit-je,en faisant un sourire amical . Je décallai une méche de cheveux mal coiffé de ce matin,pour que mon oeil droite ne soit pas génée,après tout,si je me trouvai mieux comme ca

Le ciel conmtinuait de m'émerveillé et mes mains de tater la clef. Je passais mon index sur toute la surface, pour en connaître les moindres recoins. Je n'avais jamais eu de clef pour moi auparavent. À quoi cela m'aurait-il servit ? Il ne suffisait que d'enfoncer la porte pour entrer chez moi. Mes yeux étaient roses, sûrement un mélange du bonheur d'être dans le jardin et de comfort. Qui sait ? Personne ne peut déchiffrer ce drôle de code qui constitut la couleur de mes iris.

L'herbe semblait avoir été coupé il y avait quelques semaines. Elle était haute et verte. Pourtant, les odeurs indiquaient qu'aucun engrais chimique n'était utiliser. L'herbe poussait donc à son aise, sans engrais chimique, sûrement coupé juste au nécéssaire. Les pas que j'entendirent ne me fit pas bouger d'un poil. J'étais trop bien. Les doux rayons du coleil caressait ma peau et la sensation que ça me fesais ressentir était un mélange de paresse et de comfort. Toujours le comfort, direz-vous ! Mais oui, le banc fait de bois me donnait l'impression de flotter sur mon propre nuage.

Mais bientôt, les pas se firent plus bruyant, les jeans frottant contre l'herbe verte. Ce bruit finit par me faire lever les yeux sur un mec. Il était mignon, semblait un peu renfermé... Mais dès qu'il me vut, je sentit son comportement changer. Mes yeux maintenant s'un vert aussi pur que l'emeraude le regarda s'appropcher jusqu'a m'aborder. Était-ce possible ? Quelqu'un venait directement me voir, la première fois !

- Bon matin ! dis-je avec tout l'entrain donc j'étais capable lorsqu'il me dit " Ohayo ".

Je lui offrit mon sourir. Je sais, je l'offre à tout le monde mais je crois que c'est le plus beau cadeau qu'on puisse faire. De plus, c'est tout à fait gratuit de sourire !

- Je suis nouvelle. Je sors du bureau de la gérante, une femme plutôt sympathique, je dois dire. Mais là, je tombe un peu hors sujet. ^^' dis-je toujours aussi bout-en-train qu'au début.

Donc il venait de Tokyo. Une très grande et bruyante ville, je dois dire. Mais on ne peut surtout pas lui reprocher d'être vivante, à cette métropole. pourtant, je préférais le calme de ce jardin que le klaxon des voitures pressés.

- Aussi de Tokyo ! Heureuse de faire ta conaissance... Mr. ...? Je m'appele Kaede Fuyou, et toi ?

Le sourire animait toujours mes lèvres.

[HS :: Désolé si j'ai fait long, j'ai pas prit conscience et je veux pas effacre T____T]

pensionnaire ^^ Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 22/02/2007

La fille qui se tenait devant moi était très enjouée ... Le contraste avec moi,déprimée de la vie,pourchassé du destin,n'était peut-être pas flagrant pour elle,qui n'en savait rien,mais pour moi,j'était l'opposé ... L'opposé d'une telle persone .Aussi Incroyable que ca puisse paraître,je tenta de faire un sourire . C'était rare ... C'était deja rare et reservée a ma soeur après l'accident . Mais depuis qu'elle était morte,c'était juste des sourires sadique dans mes escapade nocturne a casser la figure au genre de gens qui tue pour volé ... Je ne les tués pas . Même si je ne le contrôlai pas,mon pouvoir venait . Il tourbillonnait autour de mes main . Et a chaque coup,mes victime criée,leurs os déplacé,brisé ...Le sang coulait ... Leurs peau éclataient,me laissant a la vue du corps humain ... Mais je ne frappai jamais vers le coeur . Je ne me sallissai jamais les mains . Jamais je n'étais satisfait . Mon coeur était vide . J'étai vide . J'avai perdu ceux que j'aimais . J'étais plus vide que jamais . J'étais seul . Mon ancienne Appartement au mur blanc ... D'un blanc immaculé... Au point que ca me donnais envie de vomir . J'étai une âme en perdition...

Le ciel,la nature qui nous entourait,elle contrastait avec moi . Moi le renfermée et sur la lune Atios,celui qui ne souriait jamais ... J'étais comme une bête imparfaite dans cette pureté ambiante . Cela m'enervée ... Je n'avais jamais voulu de ce pouvoir ... Jamais voulu d'un tel pouvoir . Jamais voulu que mes parents ne meurs . Jamais voulu être seul . Pourtant le destin c'est acharné sur moi jusqu'au point où je sois différent des autres ... Jusqu'à ce que je ne puisse plus suporter les gens si enthousiaste ... Je serrais les poings . Mes pupille devenait mauves tandis que mes poings s'entourait d'une aura mauve qui tourbillonait sur elle même . Mais je me controlai et je elle disparu sauf mes pupilles mauve ... J'avais l'air d'un fou,d'un malintonié,avec dans mes pupilles une lueur mouvementé,tandis que mon Iris c'était rendu violet,signalant que mon pouvoir était actif . Je pris mon sac ... Mais quand elle dit "Aussi de Tokyo ..." Atios fut saisis d'un haut le coeur ... Le jour a l'hopital ... Il l'avait vu ... Et,elle,l'avait surement vu tuée des gens ... Tranchait dans leurs chair avec une avidité et une jouissance folle ? Ellel 'avait vu ...

- Je t'ai deja vu ... Et tu m'a deja vu dans un hopital,il n'y a pas longtemps ... Je suis le meurtrier qui a tué les gens dans l'hopital ... Même si ce n'était pas mon intention ... Tu sais,ici ont a tous un pouvoir ... Le mien,je ne le contrôle pas et c'est plutôt lui qui me contrôle ... Il me donne des envies de meurtres et j'obéis,sans vraiment le vouloir ... Je comprendrais si tu fuis,de toute façon,tout le monde m'a fuis dans ma vie . Même la vie de mes parent et de ma soeur ...

Atios sourit d'un air comphréensif . Qui ne fuirait pas après une telle révelation ? Persone . Il avais tranché d'un coup une infirmiére en dix sept morçeau . Le sang avais giclé sur le mur et le sol . j'avais continué mon carnage jusqu'à ce que je pouvais voir cette fille ... Fuyou Kaede ... Ma folie meurtriére s'était arrété en lui,et j'avais vomis a la vue du sang me recouvrant . Puis je me suis évanouis . Persone ne me suspectait : Bizarement,les scientifique ne trouvait aucune traçe me conçernant . Et aucune pour l'arme utilisé pour les tuées ... Voila ce qui avait était raporter a la police . Pourtant il avait utilisé son pouvoir ... Mais qui pourrait croire ca ? Persone ... Sauf peut-être les gens d'ici . Mais qui les croiraient,eux ? Persone ... J'haissait mon existance . Une existance de souffrance ... Je n'avais que seize ans,et pourtant j'aurais voulu mourir tout de suite ... Je n'avais plus rien de toute façon . Je décida de m'assoir a coté d'elle,considérant ses réponse comme un oui,et je sortit de mon sac une feuille ...

- Je m'appelle Atios haoru ... Hajimemashite !

Le garçon semblait perdut au fin fond de ses pensés. Je le laissé entre lui et son cerveau et décidé d'en faire de même. C'était la première fois qu'une garçon m'abordait. En fait, c'était quasiment la seule personne à ne jamais m'avoir aborder. Je les comprenais, les autres qui n'avait jamais voulut de moi. Je ne leur en voulait pas. Je pensais qu'ils avaient raison... Que je n'étais pas normale... Au sens où c'était mauvais d'être différent. Toute façon, qui voudrait se tenir avec une fille dont les parents étaient alcooliques et drogués ? J'aurais bien put l'être moi aussi et tenter de les influencés. Ou encore, les tués pour vider leur portefeuille.

Je n'étais pas comme ça. Je le savais, voilà pourquoi je n'en faisais pas de cas. S'il voulait s'amuser à croire des sottises, je voulais les laissés à leurs gaminerie. Moi, je me sentais plus grande encore. Ils pouvait faire tout ce qu'il voulait, penser n'importe quoi, je restais Kaede Fuyou. Je restais moi. Que ma classe me croit folle ou qu'elle me croit normale, ça m'était égale car dans les deux situations, je m'appelait Kaede et avait toujours le même caractère. Un caractère puissant, déterminé. J'étais déterminée à sortir de la torpeur et de la mélancolie et ce, coûte que coûte ! Je ne voulais plus faire semblant d'être heureuse, je voulais l'être véritablement.

Lorsque le garçon me regarda avec un air qui semblait plus qu'hébaït, je le regardai droit dans les yeux. Ses pupilles étaient alors violets, me rapelant la couleur des miens lorsque j'étais calme et reposée. Mais je sentais bien que ça ne marchait pas comme ça pour Atios. Il semblait complètement à l'opposé. Je dirais en colère, une colère si forte qu'elle semblait destructrice. Vous comprenez ? Une colère à faire trembler les arbres. Mais il se calma, je le sentit dans la froideur de son regard. Mes yeux ne quittaient pas les siens et s'abreuvaient de la couleur inhabituelle pour une être humain normal.

Mais qui ici était normal ? Personne, c'était une pension pour gens ayant des pouvoirs ! Je me demandai alros quelle couleur était mes propres iris. Je ne savais pas, c'était en fait le cadet de mes soucis. Il ouvrit enfin la bouche, osant me parler. Mais oui ! Je le conaissait, à l'hopital. Le dernier jour où j'avais vu ma grand-mère en vie. Un jour triste et lugubre. Mais je me concentrai sur sa rencontre. J'aurais bien put témoigner contre Atios mais ça m'aurait amené quoi? Je ne voulais que ravoir ma grand-mère et elle était morte, ça ne la ramenerais pas. Je restai figée. C'était lui, l'assassin de ces innocentes infirmières...

- Si je te quittais maintenant, je ne ferais qu'agraver ton cas..! Une personne un tant soi peu humain a besoin de soutiens et de réconfort.

Je tentai de lui sourire. C'était difficile vut le malaise instalé entre nous. Il s'assisit. Je me tassai un peu pour lui laisser tout le loisir de s'asseoir comfortablement. Mes yeux se posèrent à nouveaux sur les siens. Ils étaient toujours violets, ses iris.

- Je ne sais pas non plus maitriser le mien. Mais moi, mon pouvoir m'apporte plus de situations cocasses qu'autre chose, tu vois..? Me siris changent continuellement de couleur. D'ailleur, je me demande de quelle couleur ils sont, à présent.

Je dégagai mon visage de mes cheveux blonds et allai les porter derrière mes oreilles. Il avait alors tout le loisir de m'indiquer la couleur de mes yeux.

- Alors, passe une bonne première journée dans cette pension, Atios ! dis-je avec autant d'entrain qu'au tout début. Elle m'était revenue après le lourd malaise qui nous avait été imposé.

[Attention, RP ~~légèrement~~ très long ! ]

pensionnaire ^^ Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 22/02/2007

La fille ne lui répondit rien,comme si elle pensait qu'il était plongée dans ses pensée . C'était vrai et faux . En même temp charmée par la fille,et en même temp,il réfléchissait au temp qu'elle resterait là,avant de fuir . Il était en train de maudire son pouvoir ... Lui même était triste et désolé pour les infirmiéres innocente qu'il avait sauvagement massacré ... Il n'avait rien voulu ... Mais pourtant,comme si quelqun d'autre le controlait,il était rentrer dans une rage béstiale ... Une rage effreyante,comme un brin d'herbe au millieu d'une tempête,il avait était comme seul a affronter une tempête déchainer ... Ils étaient mort par sa faute ... Mais il ne pouvait rien faire pour les sauvait ... Tout ce qui'il pouvait dire était "Je ne ferais plus jamais ca ... Je maitriserais ce pouvoir ... Et je ne tuerais plus persone ..." . Mais pourtant,les morts pouvait-il l'excuser ? Il l'éspérait,mais dans un sens,il ne l'éspérait pas,car,il savait que l'espoir,c'était souvent source de déception . Âme meurtris,vous reposez vous dans l'eternel paradis ? Est-ce juste ? Je vous est tué... Mais on a tué mon envie de vivre ... Pourtant,j'ai l'impression que l'enfer est deja là ... Je n'ai pas eu besoin de commettre un crime pour tomber si bas ,si loin d'un monde meilleur ... Dieu,qu'ai-je donc fait ? Suis-je sensé vivre avec un pouvoir démoniaque en moi ? Un pouvoir qui a soif de meurtre ? Ce pouvoir m'a t-il bannis l'accès au paradis ? Si c'est le cas,Où est justice ? Je n'ai rien choisis ... Pas même la mort de ceux que j'aimais ... Dieu,ête vous aussi bon qu'on le prétend ? Un ange me sauvera t-il de cette enfer ? Où devrais-je devenir la même chose que mon pouvoir ? Jusqu'à la fin ,devrais-je tuer pour un plaisir qui n'existe que pour mon pouvoir ? Vous n'existez pas dieu ... Vous vous dite bon,mais vous ête aussi bon que le diable ... Vous m'avez enlevée ce qui m'était cher et m'avais doté d'un cadeau empoisoné ... Où est votre droitesse et votre bonté si chanté par tout les chrétiens ? Désolé,mais je n'en voit pas ...

Voila ce que je me disais,a l'hopital ... J'implorais pitié ... Mais rien ne m'a sauvé d'un crime que je n'ai pas commis ... Je n'ai rien fais moi ... C'est mon pouvoir qui a fait ca a travers moi . Quand a le combattre,cela m'était impossible . Et même maintenant,mes yeux violet semblait être en pleine tempête ... Tandis que l'orange était dans les yeux de la fille ... J'était persuadé qu'elle avais une autre couleur auparavant ... Mais tanpis ... Persone ne me sauvera de cette océan où la tempête est incontrolable ... Persone ... Qui s'est soucier de moi a l'hopital ? Persone ... Qui tient a moi dans ce bas-monde ? Plus persone ... Je nai plus rien qui m'attache a cette horrible enfer ... La vie n'est-il qu'un cauchemard pour moi ? Où est passé le soleil pour me réchauffer ? Seul la lune et les ténébres peuvent me comprendre au point que rien d'autre ne me sauve de ce gouffre sans fin qu'est la solitude ? Mon destin est cruel ... Mon existance est cruel ... Pourquoi je vis ? Pourquoi je doit souffrir ? Tant de question,et aucune réponse ... La jutice m'échapais encore ... Je ne voyais qu'indiférence ... Je n'avais persone qui me lancerait une corde ... Persone qui m'encouragerais a sortir ... Persone qui ne m'aimerai ... J'étais destiné a cela surement . Une vie sans bonheur . Ses cri au désespoir,persone ne les entendait ... Persone ne voulait de lui ... Tous le rejetais car il était différent . Car il avait de l'argent . Tout le monde l'enviait . Mais qui voudrais d'un argent salis par le sang de son propre pére ? Persone ne le comprenait .

- Tu est bizare ... Savoir que j'ai tuer quelqun fait fuir tout les gens sur mon passage . Mes yeux eux-même font fuir les autres .Tes yeux sont orange ,sinon . A part ça,toi aussi,passe une bonne premiére journée . Même si mes yeux font pensé que je suis enervé,ce n'est pas le cas ... C'est quelque chose d'autre qui bouillone et qui veut tout détruire ... Pas moi . Je prie que ceux qui sont mort repose en paix ... J'ai brisé tant de rêve,salis tant de souvenir ... Sans le vouloir ... C'est tellement ridicule est triste ... Mais moi aussi je connais ce genre de souffrance ... J'ai plus de souffrance que ces gens n'en n'on eu ... J'ai connu deux fois le passage glacé de la mort .... Et moi même j'ai failli l'embrasser jusqu'au point de non-retour ... Sachant que j'ai tué tout ces gens,j'aurait préféré mourir que de vivre ... Je vis avec du sang qui a était coulé contre mon gré ... Mais j'ai tant a dire là dessus ... Tant de souffrance a exprimer a vider ... Mais persone ne veut les ecouter ... Ma psycologue est devenu déprimée a cause de moi ... On va faire quoi sinon ? On a pas cours ...

[t'arrivera pas a me battre : P ]

Mon regard plongé dans le tourbillon violet, j'aspirait à connaître Atios. Il semblait trop seul pour être en parfaite santée mentale. La solitude avait dut finir par l'accabler, lui peser tellement loud qu'il aurait voulut mourir. On ne devait pas être si différent, sur ce point. Sauf que lui, il prenait la situation d'un angle différent. Je croyais que chaqun avait droit à une place au soleil. Que même moi, je pouvais bénificier de chance. Parce que tous étaient égaux dans le coeur de dieu. Si certains avaient plus de difficultés, c'est qu'ils allaient devenir plus fort et qu'un jour, ils pourront enfin comprendre tout. J'avais la foie. Celle du fait qu'on pouvait tous changer, qu'on avaient tous droit au bénifice du doute. Sans devenir ridicul, bien sûr ! L'amour était aussi fort que la haine, selon moi. La vie méritait qu'on se battent pour la préserver. Si l'on échouait, si l'ont s'abaissaient à comettre l'irréparable, ce n'était pas par stupidité, ni par manque de sagesse, mais par manque de soutiens. Si un jour quelqu'un que je conaissait mourerais devant mes yeux, je ne me le pardonerait jamais. L'homme est une race changeante, et elle a sut devenir avare et égoïste. Seulement, si tous pouvaient croire autant que moi en la vie, le monde se porterait mieu..! Si Atios resterait seul, il commeterais l'irréparable. Je savais qu'on ne pouvait longtemps supporter le poids de la tristesse et de la solitude. Je savais que sans quelqu'un pour lui montrer le soleil, que ce ne soit que par un sourire, certains pouvaient ne plus y croire. Je ne voulait que du bon, et je ne voulait faire que pour ceci. J'adorais la vie. Elle ne m'avait pas amenée de moments de répis assez que je dirais mérité, mais je savais qu'au loin, un paysible endroit m'attendait. Le paradis n'était pas un endroit, pour moi, mais un sentiment. Lorsque je vais mourir, je voudrais sentir en moi que j'ai accomplit tout ce que je pouvais dans ma vie. Je voulais être fière de moi, de tout ceux que j'aime.

J'offrit une brèche à mon regard. Celui-ci disparut entre deux batement de cils pour revenir aussi orangé qu'au début. Je choisit ce moment pour étendre mes lèvre en un fin sourire. J'offrai ainsi à Atios quelque chose qui était pour moi gratuit: un sourire. J'aimais sourire, jen souriais tout le temps. J'aimais que tous sâche que, malgré les dûres embûches, je continuaient à anvancer. Que je voulais avancer. Parfois, je stagnais, mais dans ces moments de désespoir, je n'avais besoin que de quelques jours pour vite revenir sur le droit chemin: celui de la vie. Je ne voulais plus qu'on puisse me regarder comme avant. Je réclamais maintenant le respect, et c'était ce que je ressentais ans le regard d'Atios. Une tristesse, une solitude, et du respect. Lorsque je l'avais vut à l'hopital, je n'avais rien ressentit dans son regard. Pourtant, je l'ai fixer durant un bon moment. Il semblait sans émotion, remplacé par un otomate. Et pourtant, il se souvenait de moi..!

Je décroichai enfin mon regard du sien, plongeai ma main dans ma poche de jeans et en sortit un crayon. Sur ma main, je dessinai un petit coeur où était gravé "VIE". Je voulais qu'il comprennent que la vie était un cadeau dont nous n'avons pas le choix d'accepter. J'étais convaincue que le vrai courrage était dans le fait de tenter coute que coute de vivre, que dans le fait de baisser les bras...

- M'enfin, qui est normal ici ?? ^^ Dis-je avec une pointe d'amusement dans la voix. Se sauver dès la première impression ou le premier frisson est un peu fainéant, non ? Enfin, je crois que chaque être humain mérite qu'on approfondissent nos recherche au fin fond de son être..! Chaqu'un a quelque chose à offrir, quelque chose à montrer. Même, toi ! Allez, ne pense plus à cet acte non-voulu et viens t'amuser avec moi ! Allez !!

Je me levai d'un bond, les yeux maintenant joueurs et attrapai la main de mon nouvel ami pour le faire lever. Je me précipitai donc, en courant, sur le sentier, tenant toujours sa main. Je me retournai un peu plus loins pour lui offrir un sourire.

- On fait une course ? Allez, sourit, la vie est un fromage !! ^__^

Je regardai au loin, cherchant une éventuelle ligne d'arrivée.

[ Tu savais que j'y arriverais pas >.< 43 lignes pleines et toi, 49 TT____TT]

» Qui ne tente rien, n'a rien comme on dit !